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Disclaimer : Buffy the Vampire Slayer et ses personnages sont la propriété de Joss Whedon, Mutant Enemy, Sandollar Television et Twentieth Century Fox.

Diffusion : recommandé J aucune autorisation nécessaire pour la mise en ligne de cette fanfic

Date : 7/08/2002
Auteur : AsieFou

Résumé : Un jeune homme arrive au lycée de Sunnydale, il a déjà une bonne réputation de sportif,. Mais derrière les apparence se cache un personnage pourvu d'étrange capacité Une suite/variation a la nouvelle " Mise en place " ou nous retrouvons un des membres de l'équipe de Marcy Ross qui est de retour a Sunnydale et qui travaille pour " l'Organisation " (se passe au début de la saison 7 de btvs)

Contexte : Il s'agit d'un de mes premiers fanfics, alors s'il vous plaît faîtes moi part de vos remarques, conseil, avis.

Un Pouvoir

 

 

Chapitre I

Lycée de Sunnydale, le terrain de football

Au cours de la dernière semaine d'entraînement, rien n'avait pu freiner son ardeur sportive. Il traversait la ligne de défense comme une boulet de canon, sans tenir compte une seconde du fait qu'il était au physique la moitié de ses équipiers, qui avaient l'air de géant a coté de lui.

Comme le début du match approchait, seul devant son casier il enfila son maillot des Rangers de Sunnydale l'équipe nouvellement constitué du lycée de Sunnydale tout récemment rouvert, le maillot en Lycra rouge mettait en valeur une topographie deltoïdienne, pectorale et abdominale, des plus satisfaisantes.

Il était une nouvelle recrue, les autres joueurs plus ou moins en tenue, ne s'occupait pas trop de lui, il était arrivé après le début de la saison mais son palmarès dans sont ancien lycée avait parlé en sa faveur.

Le match commença, bien en place sur son ban il attendait que l'entraîneur fasse appel a ses talents, avec l'assurance que lui donnaient des années de pratique de l'art de Thri, un des plus ancien et des plus perfectionné art mystique, synthèse de la connaissance de l'esprit et la maîtrise de son corps par la pratique d'art martiaux poussé a leurs paroxysme.
Il ne jetais qu'un regard de pure forme, rapide comme un battement de cils sur le terrain ou manuvraient les deux équipes. Son sens de l'observation aiguisé n'avait besoin de rien d'autre, il compta le nombre d'attaquants de cette phase de jeu et estima sans peine par leur mouvement la manuvre et l'objectif final. C'était plus son anticipation que son physique qui lui permettait de briller sur un terrain de football.

L'avenir, était brillant pour lui on lui promettait une carrière de professionnel si un accident malheureux ne venait pas contrarié sa future gloire. Mais a priori, se n'était pas aujourd'hui qu'il devrait montrer son talent. L'équipe de Sunnydale gagna sans trop de soucis le match par un score des plus honorable.

Contrairement a ses camarades de l'équipe, il n'était pas d'humeur se soir a fêter la victoire, il préféra rentrer chez lui, ses parents ne l'attendait sûrement pas si tôt, donc il décida de marcher un peu dans la ville qui commençait a s'apaiser après une journée de mouvement.

Sa marche nocturne l'amena a croisé le chemin de quatre silhouettes sombres et massives, sinistres comme des augures. Dans les mêmes circonstances, un être normalement constitué comme vous et moi eut éprouvé de l'inquiétude, de l 'angoisse, voire peut être même une peur panique, tant il est vrai qu'avec ses hordes sauvage de psychopathes, névropathes, sociopathes, et autre " pathes ", sans parlé des vampires, goules et autres démons, Sunnydale n'avait pas usurpé sa réputation de ville dangereuse. Tout cela, cependant, n'étais pas pour effrayer notre jeune ami, qui cheminait calmement vers le parc de la zone sud, avec une nonchalance, une tranquille assurance, qui reflétait bien la décontraction de son allure vestimentaire ; basket blanche en toile, tee-shirt bleu électrique tendance techno et jean délavé, la dessus un veste de toile et cuir typiquement universitaire U.S. avec un grand S dans le dos, légèrement vieillot comme blouson, mais il faisait partie de la tenue de ville des vaillant joueur de l'équipe lycéenne de Sunnydale de Football.

L'entrée du parc était orné de palmiers qui desservaient le parc lui même avec ses sous bois et son petit lac artificiel ou l'après-midi ,sous la garde vigilante des forces de police montés, les mères des familles accompagnaient leurs rejetons donner du pain aux canards.

Alors qu'il allait entrer dans l'espace découvert du parc ou il apercevait quelques ombres de couples imprudents, notre ami entendu un voix rocailleuse aboyer :

- Plus un geste, connard !

Levant les yeux, il vit le canon bleuté et luisant d'une arme qu'il n'essaya même pas d'identifié, et s'arrêta net ; aussitôt, trois autre hommes se regroupèrent autour du premier, et braquèrent également leur armes sur lui. Ils était tous bâtis comme des premiers de mêlée et portaient une tenue qui ressemblait a l'uniforme du RAID , gilet pare-balles noir, gants ajustés en cuir noir, tee-shirt et pantalon battle-dress noirs, plus des plaque de kevlar sur le ventre et le dos.

- Ne bouge pas lui dit le premier type dont le canon visait manifestement sa tête, le mec avec carrément l'air d'un militaire, mais pas de plaque visible d'identification, ni rien qui permettait d'identifier ses motivations, ni ses origines.

Notre jeune ami sourit a pleine dent a ses mauvais plaisants qui l'empêchaient manifestement de profité de se calme intérieur qui l'habitait toujours après une bonne journée d'étude et de sport. La vie était pourtant si simple, si limpide.

- je sais pas se que vous cherchez les gas mais bon a priori vous devez vous trompé de bonhomme.

Un des camarades du premier homme eut la bonne idée d'ajouté, a l'encontre de notre sympathique ami.

- T'as une grande gueule pour un sac d'os habillé comme une fiotte, grognât il, se qui était manifestement exagérer, il n'était peut être pas excessivement grand mais il était loin du sac d'os.

La situation commençait a prendre un tour déplaisant, des nuages commençaient a obscurcir son paisible horizon et une crispation d'impatience lui noua soudain l'estomac. Un des importuns personnages s'avançait vers lui avec des intentions des plus suspectes, il décida donc qu'il était temps de leur tirer sa révérence.

Un instant le premier homme croyait tenir son arme bien en main,, mais elle disparut en moins de temps qu'il n'en faut pour cligner des yeux, et il se retrouva la main vide, avec l'air hébété de quelqu'un qui vient de rate une marche. Aussitôt , l'instrument réapparut, sorti de nulle part, et heurta violemment son menton. Il poussa un grognement plus près du bruit du goret qu'on égorge que celui d'un humain frappé, quoi qu'il en soit, une chose était sure , c'est que sa mâchoire vola en éclats , et qu'il cracha ses dents sur le trottoir.

Tout cela se passa si vite que les autres furent pris de court. Ils pointèrent leurs armes sur cette menace qu'il négligeaient quelques instants plus tôt. La grande gueule fut le plus rapide et il pointa son arme et tira a moins de deux mètres, autant dire a bout portant. Dans un " pfufffff " de silencieux, la balle vola vers ca cible.

L'acuité visuelle de notre jeune ami, était exceptionnelle sous la férule de ses professeurs et a l'aide d'une technologie encore expérimentale, il eut le temps de voir la balle arriver sur lui. Se laissant tombé a terre il évita la trajectoire du projectile. D'un coup de rein il était de nouveau debout et avant que les trois survivants ne réagissent et que leurs cerveaux enregistre son déplacement, son pied était partie et alla heurté violemment l'estomac du tireur, se qui le projeta trois mètres plus loin contre un arbre malheureusement pour lui il vient s'enfourcher sur un branche, sans un râlé il rendit son dernier soupir.

Ensuite, il s'occupa de celui qui semblait le plus dangereux, d'un simple coup du tranchant de la main, il fit une profonde entaille dans le gilet de kevlar du futur cadavre, avant que se dernier n'ait le temps de réagir, il introduisit sa main a l'intérieur du gilet, agrippa l'homme par la peau du torse et ressortit son poing, d'une furieuse pression il avait écrasé le cur du malheureux qui ne savait pas encore que son palpitant ne battait plus.

Le dernier survivant de cette fine équipe tenta de tirer a son tour, mais la main de se que nous pouvons appeler dorénavant une machine a tuer, bloqua la main de l'homme qui essayait désespérément de donner l'ordre a son doigt d'appuyer sur la détente, mais les ordres n'arrivait plus a celle-ci. Ca main n'était plus sous son contrôle.

- Ouille, Ouillllleee, Maman ! Hurla l'homme

- Qui suis-je ? lui demanda le jeune homme.

- Un tordu de première ! dit-il bravache, mais son regard était désespéré il ne se faisait plus trop d'illusion sur son avenir.

- Réfléchis bien, je peux provoquer chez toi des douleurs insupportables, alors qui suis-je ?

L'homme leva les yeux vers lui et grimaça en serrant les dents, anticipants d'autre souffrance.

- Tu as été pointé par les notre, tu es un obstacles a notre destinés, tu dois mourir pour que la prophétie s'accomplisse, tu ne dois pas prendre place autour du cercle.

- Raté, je suis celui qui aime voir la lampe des méchants empêcheurs de se promener tranquillement s'éteindre.

- Hein ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?

- Trop tard mec, c'est l'heure du grand dodo.

Et d'une pichenette d'une force et d'une précision savamment dosés, sur la tempe, il fit éclater celle-ci, des éclats d'os interrompirent définitivement le champ électrique du cerveau du pantin qui tomba a terre.

Notre jeune amis, remarqua satisfait qu'aucune trace de sang n'avait sali son jolie tee-shirt ni ses baskets blanches, regardant ca montre il se dit qu'il allait être en retard pour le dîné.

 


Chapitre II

 

Grand Centre Commerciale de Sunnydale

 

Il régnait une bonne humeur dans la galerie commerciale que personne ne parut remarquer qu'un homme venait de mourir. Les cris de ceux qui avaient reçu le corps du vendeur sur la tête s'étaient perdus dans le brouhaha excité des clients qui voulaient passer aux caisses avant la fermeture de la galerie.

Un couple aux regards étranges et a la démarche saccadé prêtaient a peine attention au tumulte qui les entourait, concentrés qu'ils étaient sur les odeurs délicieuses qui les entouraient, Des tables et des chaises permettaient de s'installer après avoir acheté ses plats a empoter dans l'une des boutiques de restaurations rapide qui étaient légion dans se genre de centre commercial. A cette heure, un tiers seulement des tables étaient occupées.

Ceux qui ne s'écartaient pas assez vite sur leur passage étaient balayés comme des mauvaises herbes ; certains terminaient leur course a travers la vitrine d'une boutique. Le service de sécurité de la galerie commerciale fut bientôt alerté et une dizaine d'agent en costard cravate et talkie-walkie arrivèrent de toutes les directions. En voyant le rassemblement qui s'était formé, ils eurent un instant de panique. Il n'était pas question qu'ils sortent leurs armes, il y avait bien trop de monde. Ils n'avaient pas la moindre idée de ce qu'il fallait faire. Finalement, des unités de polices arrivèrent sur place.

Le couple arriva enfin a destination, le magasin d'animaux, arrachant la grille de l'enclos aux chatons chacun d'eux en pris un, et le portant a leur bouche il le croque tout crue, déchiquetant les pauvres animaux vivants sans pitiés pour leurs petits crie. Cette boucherie ne semblait pouvoir pendre fin que quand il n'y aurait plus de chaton, ils semblaient insatiables. Le public médusé, les forces de l'ordre confondu, le temps semblait suspendu.

Les amis des animaux qui voulurent apporté leurs aides aux betes se transformèrent instantanément en humains volants qui allèrent laissés des traces rougeâtres sur le mur de l'animalerie. Un policier arrivé sur les lieux armes au point pris la parole.

- Eloignez-vous de ce comptoir.

Les interpellés avait cure de cette voix et continuaient leur festin, l'homme commençait a attaquer les chiots, le policier repris.

- Ca suffit comme ca maintenant, leur dit-il Ici la brigade spéciale de la police, mettez vos mains sur la tête bien en évidence, tout les deux ! et plus un geste.

 

Buffy, et Dawn regardaient atterrées le flash d'information spécial, un journaliste relatait l'attaque au centre commerciale.

- A environ, 19h30, dit-il, un couple de type caucasien, ont échappés a la surveillance du service de sécurité et on pris d'assaut sans arme autre que leurs mains et leurs pieds le centre commercial, notre journaliste sur place est avec un témoin.

Un jeune journaliste en chemisette apparut a l'image devant l'entrée du centre en arrière plan on voyait les gyrophares des ambulances qui se reflétaient sur l'immeuble de verre. Le journaliste se tourna vers un adolescent blond, les cheveux en brosse et l'oreille percé qui se trouvait a coté de lui.

- Vous étiez dans la galerie quand l'incident est survenu. Pouvez vous décrire pour nos téléspectateurs ce que vous avez vu ?
- Ben, au début il y a eu ses deux énergumènes bizarre qui dégageaient les mecs autour d'eux a grands coups de pompes dans le cul, expliqua l'adolescent.
- Vous avez donc assisté a des scènes de violence ?
- De la violence ? hé, regarde mes fringues, mon pote, regarde ca ! dit le blondinet en soulevant un pan de sa chemise extra-large . T'as vu ce bordel ?

Le journaliste se pencha pour y voir de plus près.

- Heu non pas vraiment
- C'est du sang mon pote. Ca giclait de partout. Quand les poulet ont donnés l'assauts , le type a éclaté la tête du flic qui commandait e et il a ruiné mes fringues du même coup, j'ai méchant la haine la !
- Des rumeurs laissent entendre qu'il y a eu des coups de feu échangés a l'intérieur de la galerie, pouviez-vous nous dire quelques chose là-dessus ?
- Bah, c'était hyper cool, mon pote, les keufs étaient alignés d'un coté, et de l'autre t'avait la meuf et le keum bizarre, mais bon y avait que les flics qui étaient armés en fait, mais bon ca les a pas empêché de foutre un putain de bordel, on se serait cru dans un putain de jeu vidéo. Ca tirait de partout. Look, mon pote tu vois ca, ici ?

Il souleva le pan de sa chemise et dit :

- Tu vois ca, se truc gris, bah c de la cervelle de poulet, j'te jure, la vérité vraie, mon pote !

Pendant que la camera zoomait sur le morceau de tissu, Dawn serra le bras de ca sur, se centre commerciale elle le connaissait bien elle passait une bonne partie de ses temps libre a une certaine époque et même maintenant elle aimait faire du lèche vitrine avec ses amies maintenant que les magasins lui permettaient de nouveau de se balader librement, ses tendances a la cleptomanie s'étant calmé.

Le journaliste en studio repris l'antenne, pour dire que la police menait l'enquête, les deux suspects avaient réussi a échappés aux forces de l'ordre, le nombre des victimes se montait déjà a 22 personnes. Pour finir le journaliste clôtura se flash en disant que les camera de surveillance n'avait pas pris de séquence permettant d'identifié les suspects.

Buffy, éteignit la télévision. Les choses allaient vraiment de mal en pis. Le scooby gang étaient vraiment au minimum actuellement, cette histoire avait ou l'air d'être de nature surnaturelle, mais qui allait pouvoir l'aider.

Willow était actuellement en Angleterre avec Gil et Buffy ne savait pas si elle reviendrait un jour, sa folie meurtrière suite a la mort de Tara, et sa tentative de mettre fin a toute vie sur Terre avait fortement ébranlé la confiance de Buffy en celle-ci.

Quand a Alexandre, après avoir réussi a sauver le monde en permettant a Willow de retrouver un semblant d'humanité, et de se fait démontré une fois de plus que son humanité était un élément qui avait ca place dans le groupe. Mais suite a ca rupture avec Anya et ses tentatives plus ou moins avortés de réconciliation, il avait pris un peu de recul et consacré tout son énergie a son travail.

Spike, lui était elle le savait revenu a Sunnydale, mais elle ne l'avait pas revu, son grand manteau de cuir pris sur le corps sans vie d'une tueuse qu'il avait tué quelques années plutôt l'attendait toujours sur le porte manteau de l'entrée, Buffy n'avait rien oublié de la tentative de viol de Spike a son égard, mais par ca nature même elle ne pouvait pas vraiment lui en vouloir, sa relation sadomasochiste de plusieurs mois avec lui avait laissé des traces, elle espérait et redoutait de le revoir. Son existence entière était tourné vers Dawn , il lui manquait l'amour d'un homme, les jolies garçons prêt a la courtiser ne manquait pas, elle était loin d'être vilaine, mais le constat était clair , elle ne pouvait pas aimer tout simplement un homme.

Ces pensées prirent un tour diffèrent, Il restait ca sur, Dawn qui était la immobiles. Elle regardait ca sur qui outre le fait d'être un sur était aussi un mythe vivant, " La tueuse ", un être de chair, mais un personnage mystique qui avait une destiné a accomplir .

- Buffy que penses tu de cette histoire ? Moi, je dirais que se sont des vampires vu leurs forces et le fait qu'a priori les cameras de contrôles du centre n'ont pas réussi a avoir d'images nettes des deux ziozios. Mais d'un autre coté c'était le jour, et a priori la lumière ne les accommodes pas du tout, peut être des Zombies alors ?

Dawn, était pour Buffy un apport perpétuel de fraîcheur, tel une fontaine, ca vivacité d'esprit, son jeune corps plein de vie plein de l'impétuosité de la jeunesse, ses éclats de rire hors propos et ses pleurnicheries sans conséquences lui donnait les émotions qu'elle avait tant de mal a ressentir naturellement. Elle avait tant vécu d'expérience en si peu d'année et la charge lui semblait chaque jour un peu plus lourde.

- Tu as peut être raison Dawn, mais bon je vais aller voir Anya c'est actuellement notre source la plus sure d'information sur les êtres démoniaques qui parcourent notre charmante bourgade, toi de ton coté va t'entraîner un peu, je veux bien que tu sois avec moi mais il faut que tu sois a même de te défendre. Tu es encore si fragile.

Dans un élan d'émotion qui l'étonna elle même, elle sera Dawn contre elle et l'embrassa.

- Attention Buffy tu veux m'étouffer, marmonna Dawn dans un souffle.

 

Chapitre III

 

Dans l'appartement d'Anya dans le centre historique de Sunnydale

- Hiiiii Buffy ! ! ! dit Anya joyeusement en ouvrant la porte a Buffy.

Anya fidèle a elle même tanguait entre ca nature humaine et démoniaque, l'amour qu'elle ressentait encore pour Xander, la retenait encore dans les royaumes des humains, mais Buffy se demandait si cela durerait encore longtemps. Mais pour le moment Anya était une source digne, et ses pouvoirs de démon vengeur comblait partiellement l'absence, des deux cerveaux de l'équipe Gil et Willow.

- Oui, je suis au courant de cette histoire au centre commercial, en fait je ne sais pas trop bien qu'elle sorte de monstre mais, se sont des imbéciles. Ils avaient besoin de faire un sacrifice non pas de nouveau né humain comme c'est souvent le cas, mais de jeune animaux tout juste sevrés, d'ou l'hécatombe de chatons et de chiots. Mais au lieu de faire ca de nuit, ils n'ont même pas réfléchis et on foncés des qu'ils ont trouvés un endroit ou il y avait ses animaux. A priori, se sacrifice est nécessaire pour qu'ils rejoignent leur dimension démoniaque.

- Et, ils sont partie ? demanda Buffy, déjà prête a passé a autre chose.

- Oh, non, a priori ils ont due fuir avant d'avoir fini leur salamalecs, ils sont bons pour tout recommencer, mais je les sent, si tu veux mettre la main dessus va donc faire un tour du coté du bas quartier la ou il y a l'ancienne fabrique de chaussures.

Traçant, a travers les allées de Sunnydale qui lui permettait d'évité les grand axes , elle repensait a Anya et Xander. Elle avait vu, dans le mariage de ses deux amis, une lumière dans son néant émotionnel, la fuite d'Alexandre, et le retour d'Anya l'avait marqué. Ajouté a ca la passade d'Anya pour Spike, en plus en vidéo s'il vous plaît, vraiment elle ne comprenait vraiment rien a se monde. Mais réflexion faite un rapprochement des deux étaient des plus probable, mais cela n'avait pas grande importance pour elle actuellement. Ca tache était de débarrasser Sunnydale de deux démons qui avaient la fâcheuse tendance de laisser traîner un peu trop de cadavre derrière eux.

*

Notre mystérieux ami, traversa la rue presque déserte. Il souriait en les imaginants tous en train de ronfler. Il passa devant un grand panonceau qui annonçait l'ouverture d'une nouveau Doublemeat Palace , se qui lui fait pensé a la raison de leur présence dans cette ville a tous. La Tueuse, Buffy Summers, l'aider, la tuer, seule certitude surveiller et attendre. (NDA ; lire " mise en place " du même auteur)

Quelques heures plus tôt, il avait appris lui aussi la descente des monstres dans le centre commerciale, un coup de téléphone de Ron lui avait donné l'endroit ou se situait les responsables du carnage. Il devait se mettre en position a proximité et attendre l'intervention probable de la Tueuse.

Il passa devant des restaurants, mais il n'y avait déjà plus de lumière a l'intérieur. Il traversa le nouveau lotissement de Canyon Hill pour rejoindre l'ancien pâté de maison ou se situait l'ancienne usine de chaussure qui avait été pour beaucoup pour la prospérité de la petite ville 40 ans plus tôt, se coin de la ville était encore très boisée. Malgré tout, des éclats de lumière, trahissaient la présence de maisons habitées. Le terrain ou était situé l'usine avait été vendu par la ville a un promoteur privé qui allait construire une clinique de luxe.

Le bas quartier était plongé dans la plus totale obscurité. Beaucoup de gens s'en étaient plaints mais la politique de la ville était de laisser les terrains boisés sans éclairage. Et maintenant que c'était vendu, ca allait rester comme ca jusqu'à l'achèvement du plan d'urbanisation.

Notre jeune héros escalada le talus herbeux qui longeait l'usine désinfecté, l'envie de regarder au passage se qu'ils étaient en train de fabriquer là-dedans le poussa a se mettre a la hauteur d'une fenêtre cassé. D'un bond souple il entra par celle-ci. Pas un bruit un silence rompu que par le craquement léger de ses vieux immeubles bercés par le vent. Tout ses sens en alerte il lui fallait maintenant trouver un planque ou il pourrait tout a loisir observer sans être vue. Buffy Summers ne devrait pas tarder, si l'estimation de Ron était correcte. Il était impatient de voir la Tueuse a l'uvre, Marcy avait bien spécifié de ne pas entrer directement en contact avec l'observer.

Tout a ses pensées, il ne réagis pas a se qui se passa ensuite. Une silhouette bondit tout à coup hors de l'ombre et attrapa le jeune homme par-derrière, une main se plaqua sur sa bouche. Il sentit des bras puissants le soulever il se rendit compte avec horreur qu'on le portait vers le centre de l'usine.

Il se débattit de toute ses forces, donna des coups de poing, de pieds, de coude, dans tous les sens. Il essaya .de voir celle qui l'avait empoignée de la sorte. A certains détails qui ne trompent pas, il s'était, en effet, rendu compte que c'était une femme, ou du moins qui en avait l'apparence. Reprenant, conscience de se qu'il était et de son éducation, il pensa et l'action fusa, l'animal en lui avait fait place a l'être pensant.

La peur était dominé, le " Thri " le submergeait, arrêtant de frapper vainement, il attrapa d'une torsion de son corps la tête de la femme et d'un geste violent, lui ramena la tête dans l'autre sens, un peu trop violemment d'ailleurs.

- Merde ! lâcha il, en entendant un vilain craquement dans la nuque de la femme.

Le corps de la femme s'écrasa au sol, tel un vieux chiffon, le garçon était debout au dessus du corps et regardait fixement la tête de la femme qui pendait étrangement, quand il tourna la tête vers lui, ce furent que deux yeux morts qui le regardèrent fixement.

- Merde, merde, merde, merde, merde ! glapit il furieusement. Je suis une truffe,

Il n'avait pas respecté les consigne et par son inexpérience il avait compromis ca mission, pendant le temps de cette réflexion faite a lui même, le corps a ses pieds avait changé de forme, il n'avait plus devant lui une femme humaine, mais une sorte de grand fauve, manifestement femelle mais plus proche d'une hyène humanoïde que d'autre chose, sans doute un démon polymorphe ou

Un crie animal lui glaça le sang, une fois de plus il n'avait plus fait attention au monde extérieur, le mâle qui n'avait même pas pris la peine de prendre une apparence humaine se tenait en face de lui les bras écartés, il prit l'attente du jeune homme pour un moment d'inattention.

Le monstre se jeta dans la brèche. Mais des qu'il eu engagé tout son poids dans l'attaque, le jeune homme s'écarta à une vitesse foudroyante, le démon était étonnamment rapide. Il voulut redresser sa trajectoire mais n'y parvint pas ; le point de non retour était atteint. Et c'est tout son élan qui s'ajouta a la force de notre jeune héros lorsque ce dernier lui saisit son poignet et le tordit pour lui faire bien sortir ses griffes d'un geste sec de son autre main il cassa les griffes qui tombèrent a terre. D'un coup de tête il réexpédia le monstre en arrière.

Il voulait avoir le monstre vivant si possible, mais il compris que se ne serait pas facile quand ce dernier, loin de s'assommer sur le mur sur lequel il avait été s'échouer, roula en avant en poussant un grognement de rage puis plongea sur une barre de fer qui traînait a terre et revient a l'attaque avec une rapidité qui en aurait surpris plus d'un.

Mais le jeune humain n'était pas n'importe qui. Un coup de pied tournant le désarma pour de bon en expediant la barre de fer au loin. Le monstre poussa un hurlement de douleur et se prit le poignet tout en se mettant a tourner comme une toupie, propulsé par l 'élan que lui avait imprimé l'attaque de l'agent de " l'organisation ". De nouveau il roula a terre. Quand il se releva, ses pattes saignaient il n'avait plus aucune griffe, dans un hurlement de douleur et de rage le démon se jeta sur l'humain.

Se laissant tombé a terre celui-ci envoya un coup de pied joint dans le thorax du monstre qui arrivait tel une locomotive devenue folle. Le coup envoya boulé une fois de plus le démon, mais dans ca chute ca tempe acheva ca course sur l'arête aiguë d'un ancien établi en béton.

Il s'écroula et ne se releva pas, notre violent mais sympathique ami n'avait pas besoin d'un dessin. Il consacra une minute pour examiné les deux cadavres, pas fier de lui mais ne voulant pas laisser d'éventuel indice.

Son téléphone portable vibra, après l'avoir porté a son oreille, il se rembrunit tel un enfant pris en faute.
- Oui, je sais j'ai légèrement changé les plans Marcy, je suis vraiment désolé, mais je me suis fait surprendre. Ah, elle arrive, OK je traîne pas.

Pas fier de lui, courbaturé comme après un entraînement de plusieurs heures, il coure dans les sous bois fuyant la zone car La Tueuse arrive de peur de la croiser, il avait déjà assez fait de bévue pour une seule journée.

 

Chapitre IV

 

Devant l'entrée de l'usine abandonné Buffy se demandait qu'elle technique elle allait adopter se soir Apres une très, mais très courte introspection elle décida qu'elle allez foncer dans le gras du problème. Et puis elle n'avait jamais été une spécialiste de la finesse. Pour elle si il fallait régler un mal dent chronique ca méthode serait l'extraction. L'idée de soigner ne lui viendrait pas a la base.

D'un coup de pied magistral elle fit sauter comme a son habitude la porte, essayant par la d'attirer directement a elle les cibles, le jeu de cache-cache c'était pas trop son truc. Aucun bruit

Pourtant, il y avait une odeur de mort qui traînait par ici, après plusieurs salle vide, elle tombe sur le tableau des deux cadavres des monstres. Ils sont encore tièdes, pas d'impact de balle, pas de marque d'objet contondant. D'un rapide coup d'il elle a jugé la scène.

- Moui, Moui, Hum j'ai de la concurrence on dirais ou alors, y a un des parents de vos victimes qui a décidés de vous faire payer la note. Une personne, et a priori a mains nues, plutôt gonflés quand même.

Ne trouvant rien d'autre a faire ici, Buffy repris le chemin de son pavillon, sans bien sur avoir oubliée de faire une petite ronde histoire des calmer les velléités des vampires et autres goules de sortie.

Dawn ne dormait pas quand elle rentra, elle était affalée sur le canapé et regardait un feuilleton débile à la tété.

- Alors Buffy ses monstres ? tu les as trouvé

- Oui, mais bon il étaient déjà refroidis, j'ai de la concurrence en ville. Sa ne ressemble pas aux techniques de " l'initiative ", car pas d'utilisation d'arme a feu, pas la police non plus car les corps ont été laissé sur place. franchement je ne sais pas si c'est bon ou mauvais. L'avenir seul nous le dira. Bon je vais me coucher, tu devrais en faire de même . dit Buffy en Baillant.

 

Epilogue

 

Une chambre, dans un lit un couple enlacé

- Mon amour, ou allons nous ainsi Nous n'avons même pas de directive claire, seulement être la et attendre l'accomplissement d'une hypothétique prophétie que nous ne connaissons même pas.

La femme qui venait de parler se nommait il y a longtemps Marcy Ross a ses cotés son compagnon et son collègue Ron Setier garda le silence quelques instants avant de parler a son tour.

- Oui, cela est bien diffèrent de nos activités antérieurs, mais nous savons que cette années se joueras le sort de notre nation nous sommes la pour faire pencher la balance de notre coté, simplement nous ne savons pas encore de quel coté du balancier nous devons appuyer. Nous sommes les pions de joueurs d'échec qui nous dépasses. Nous plaçons les pièces autours des figures. Ne vas pas me demander qui est le Fou, et la Reine La tour ou le Roy. Sommes nous même peut-être nous même des pièces majeurs.

La femme n'entendit jamais la réponse de l'homme couché a ses cotés, elle s'était déjà endormi.
Sunnydale est calme est tranquille, le grand échiquier de la destiné dors, bientôt une nouvelle aurore va poindre, des nouvelles aventures attendent les protagonistes de cette farandole d'événement qui semble pourtant, orchestré, par une ou des entités mystérieuse et peut être toutes puissantes

 

A suivre

 

AsieFou, Paris le 7 août 2002